Bon du Trésor
Un bon du Trésor est un titre d’emprunt émis par l’État par l’intermédiaire du Trésor public, d'où leur appellation. Le but est de lever des liquidités afin de financer différentes actions. Le montant minimum de souscription est de 150 000€. L'acheteur du bon se retrouve alors créancier de l'État. De ce fait, l'État s'engage à rembourser l'acheteur, à une échéance déterminée. En plus de cela, l'État lui verse de manière régulière des intérêts avant cette échéance.
Il s'agit du titre qui est le plus facilement négociable sur le marché monétaire. Ils peuvent être souscrits auprès de différentes entités telles que les banques, les établissements financiers, ou encore les collectivités locales.
Historiquement, il a existé deux types de bons du Trésor. Les BTAN (bons du Trésor à taux fixe et intérêt annuel) et les BTF (bons du Trésor à taux fixe et à intérêt précompté). Cependant, depuis 2013, plus aucun titre de BTAN n'a été émis. De ce fait, il n'y en a plus aucun qui est échangé sur le marché secondaire.
Les premiers bons du Trésor français ont été mis en place par le baron Louis en 1814. Le baron Louis était le ministre des Finances du roi Louis XVIII. Ces bons avaient un taux d'intérêt variable, qui augmentaient dans la durée. Jusqu'en 1914, ils constituaient la dette à court-terme de l'État.
Il s'agit du titre qui est le plus facilement négociable sur le marché monétaire. Ils peuvent être souscrits auprès de différentes entités telles que les banques, les établissements financiers, ou encore les collectivités locales.
Historiquement, il a existé deux types de bons du Trésor. Les BTAN (bons du Trésor à taux fixe et intérêt annuel) et les BTF (bons du Trésor à taux fixe et à intérêt précompté). Cependant, depuis 2013, plus aucun titre de BTAN n'a été émis. De ce fait, il n'y en a plus aucun qui est échangé sur le marché secondaire.
Les premiers bons du Trésor français ont été mis en place par le baron Louis en 1814. Le baron Louis était le ministre des Finances du roi Louis XVIII. Ces bons avaient un taux d'intérêt variable, qui augmentaient dans la durée. Jusqu'en 1914, ils constituaient la dette à court-terme de l'État.